Schriften, Bind 3Orell, Füssli und compagnie, 1825 |
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Almindelige termer og sætninger
Albrecht Dürer Altona Anblick Angelika Kaufmann Aschberg bekannt berühmten besonders besuchte beyden beym beynahe Blicke bloß Bonstetten chen dabey deffen Denkmal deutschen Dichter dieſer drey eben edle Ehre ehrwürdigen einige ersten fand feine Feyer fich find französischen Freund Freundschaft freyen Friederike Brun Friedrich ften Fürstin Fuß ganzen Garten Gedichte Gegend Geist Gelehrten Gemälde Geschmack gewiß Glück glücklich goldenen großen Guido Reni Hand heiligen heitern Hensler Herr herrlichen Herz hoch hohen Horaz indeß Jahren kleinen Klopstock Kloster Berge König konnte Kunst Land lange läßt Lebens lehten leicht lich Liebe lieblichen ließ Mann Menschen merkwürdigsten Muse muß Namen Natur Nyon reichen Reise Reisenden sagte Salis Scenen schen Schicksal Schloffes Schloß Seeland Seele selten seyn ſich Siehdichum Stadt Stockhorn Stunden Tage Theil Tizian unsern unstreitig Via mala viel vielleicht wahren ward weiß Welt weniger Werke Wernigerode werth wieder Wieland Wohnung worin Worlik Worte würdigen Zimmer Zirkon zuleht zwey
Populære passager
Side 154 - A stranger yet to pain! I feel the gales that from ye blow A momentary bliss bestow, As waving fresh their gladsome wing My weary soul they seem to soothe, And, redolent of joy and youth, To breathe a second spring.
Side 3 - Thus every good his native wilds impart, Imprints the patriot passion on his heart; And e'en those ills, that round his mansion rise, Enhance the bliss his scanty fund supplies. Dear is that shed to which his soul conforms, And dear that hill which lifts him to the storms; And as a child, when scaring sounds molest, Clings close and closer to the mother's breast, So the loud torrent, and the whirlwind's roar, But bind him to his native mountains more.
Side 334 - ... et de spondées ; ils étoient remplis de sens , et mon oreille a été flattée agréablement par des sons sonores > dont je n'aurois pas cru notre langue susceptible. J'ose présumer que ce genre de versification est peutêtre celui qui est le plus convenable à notre idiome, et qu'il est de plus préférable à la rime; il est vraisemblable qu'on feroit des progrès , si on se donnoit la peine de le perfectionner.
Side 369 - Et comment peut-on appeler bonheur un état fugitif qui nous laisse encore le coeur inquiet et vide, qui nous fait regretter quelque chose avant, ou désirer encore quelque chose après?
Side 333 - J'ajouterai à ces messieurs, que je viens de nommer, un anonyme dont j'ai vu les vers non rimés : leur cadence et leur harmonie résultait d'un mélange de dactyles et de spondées ; ils étaient remplis de sens, et mon oreille a été flattée agréablement par des sons sonores dont je n'aurais pas cru notre langue susceptible.
Side 338 - ... Rendez-nous ces effets. Que du riant au sombre, Du noble au gracieux, les passages sans nombre M'intéressent toujours. Simple et grand, fort et doux, Unissez tous les tons pour plaire à tous les goûts. Là, que le peintre vienne enrichir sa palette ; Que l'inspiration y trouble le poète ; Que le sage du calme y goûte les douceurs ; L'heureux, ses souvenirs : le malheureux, ses pleurs.